Le Ghosting en BtoB : un comportement qui exaspère.

Appelons les choses par leur nom. Ce que l’on qualifiait autrefois simplement d’impolitesse a désormais un terme branché en anglais : le ghosting. Comme si l’angliciser suffisait à le rendre plus chic… ou plus acceptable.

Nombreux sont les professionnels qui partagent ce constat : il semble aujourd’hui banal, après avoir sollicité les conseils d’une entreprise ou d’un prestataire, participé à un rendez-vous (même en visio) et demandé une étude ou un devis, de ne plus donner suite. Silence radio : plus aucun retour aux appels, messages vocaux, e-mails ou SMS.

Mais le ghosting est-il vraiment un phénomène nouveau ? Pas vraiment. Faire le mort existe depuis toujours. Ce qui change aujourd’hui, c’est que la technologie rend l’évitement plus simple que jamais : un clic, un message laissé sans réponse, un appel ignoré… et l’inconfort disparaît.

Pourquoi agir ainsi ? Peur d’annoncer un refus ou de donner un retour jugé négatif ? Manque de temps pour formuler une réponse, même courte. Habitude numérique : avec la facilité de zapper un message, certains finissent par trouver normal… de ne rien dire.

Et vous, avez-vous déjà été confronté(e) à ce type de comportement ?

Comment l’avez-vous géré ? Ce post est une invitation à partager vos expériences et, peut-être, à réintroduire un minimum de respect dans nos échanges professionnels.

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